9h30 - Visite de l’observatoire
du changement climatique
11h00 - Cours : avantages et limites
des énergies marines renouvelables
14h30 - Forum citoyen :
comment atténuer ou s'adapter ?
16h00 - Rencontre avec Yann-Hervé de Roeck, un ingénieur engagé
9h30 - Visite de l’observatoire
du changement climatique
En 2009 à l’issue de la conférence sur le climat COP15 à Copenhague, les pays réunis ont reconnu la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) afin de limiter la hausse de température en deçà de 2 °C. Au-delà de ce seuil, le changement climatique pourrait avoir des effets irréversibles pour l’environnement. C’est pourquoi, la transition énergétique est aujourd’hui une nécessité.
Les énergies marines renouvelables (EMR) sont l’ensemble des énergies exploitées en mer ou sur le littoral. Si l’on considère qu’environ 71 % de la surface terrestre est couverte par les océans, on peut comprendre le potentiel énergétique de la mer. D’autant plus que les EMR ne sont pas uniquement liées à l’eau, elle peuvent par exemple avoir recours au vent ou à la chaleur.
CAP VERS LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE
LES ÉNERGIES MARINES RENOUVELABLES
9h30 - Lecture du dossier
« Causes de la montée des eaux »
CAP VERS LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE
Par transition énergétique, on entend le passage du système énergétique utilisant des ressources non renouvelables vers un système essentiellement basé sur des ressources renouvelables. L’Union européenne s’est notamment engagée à réduire de 20% d’ici 2020 les émissions de gaz à effet de serre et à satisfaire 20% de sa consommation finale par les énergies renouvelables.
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du changement climatique
On compte six grandes familles parmi les énergies marines renouvelables :
- l’énergie hydrolienne, au travers des courants marins
- l’énergie houlomotrice via l’énergie des vagues et de la houle
- l’énergie marémotrice à travers la marée
- l’énergie thermique des mers, basée sur une différence de température entre les eaux profondes et celles de surface
- l’énergie osmotique qui utilise les différences de salinité
- l’éolien offshore qui a recours à la force du vent.
La biomasse marine peut également constituer une source d’énergie
via l’exploitation des macro et des micro-algues. Mais elle n’est pas considérée comme étant une énergie marine renouvelable.
LES ÉNERGIES MARINES RENOUVELABLES
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----> SÉQUENCES PÉDAGOGIQUES
Les avantages
des EMR
Les limites
des EMR
----> DOCUMENTS À TÉLÉCHARGER
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des énergies marines renouvelables
LES AVANTAGES DES EMR
Les experts s’associent aujourd’hui pour affirmer que les énergies marines renouvelables constituent une ressource infinie, durable et propre. Elles constituent également un grand potentiel économique, créateur d’emplois.
Selon une étude réalisée par la Commission européenne, « la capacité éolienne en mer a augmenté de 33 % en 2012, progressant ainsi plus rapidement que le secteur de l’éolien terrestre. À l'heure actuelle, l'énergie océanique est un secteur de création récente, dans lequel les technologies permettant d'exploiter l'énergie houlomotrice et l'énergie marémotrice sont relativement plus développées que les autres technologies. »
Les stades de développement des différentes sources d’énergies océaniques sont hétérogènes et leurs avantages sont multiples.
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des énergies marines renouvelables
Même si les énergies marines renouvelables se veulent prometteuses, il est important de considérer que toutes les filières ne se trouvent pas au même stade de maturité. En effet, l’éolien offshore "posé" (dont la base est fixe) est déjà pratiqué à l’échelle commerciale depuis plusieurs années alors que le stade commercial de l’éolien flottant et de l’hydrolien sera atteint sur le court et moyen terme. Enfin, le houlomoteur, le thermique et l’osmotique seront opérationnels sur le moyen et long terme.
Par ailleurs des freins technologiques, économiques, environnementaux ou sociaux sont soulevés. Comme tout projet d’aménagement urbain, l’implantation d’infrastructures sur le littoral ou en mer doit être menée en concertation avec les différents acteurs concernés. Cela permet d’éviter les conflits d’usage et de renforcer l’acceptabilité sociale.
LES LIMITES DES EMR
14h30 - Forum citoyen :
comment atténuer ou s'adapter ?
Réduction des gaz à effet de serre
à tous les niveaux
Concertation citoyenne,
un impératif
----> ORDRE DU JOUR
14h30 - Forum citoyen :
comment atténuer ou s'adapter ?
Les EMR apparaissent aujourd’hui comme un maillon important dans la politique énergétique européenne pour répondre aux objectifs de réduction de gaz à effet de serre. Au delà des énergies marines renouvelables, la réduction des gaz à effet de serre passe par une modification de nos modes de consommation et de production.
L’éducation est un des piliers majeurs pour aborder ce changement sociétal.
RÉDUCTION DES GAZ
À EFFET DE SERRE
À TOUS LES NIVEAUX
CONCERTATION CITOYENNE,
UN IMPÉRATIF
14h30 - Forum citoyen :
comment atténuer ou s'adapter ?
TRANSPORT
- Promotion du biodiesel,
- Utilisation de véhicules électriques,
- Promotion du transport collectif,
- Mise à disposition de vélos,
- Formation en écoconduite,
- Aide à l’efficacité énergétique.
INFRASTRUCTURE
- Promotion des programmes en efficacité énergétique,
- Promotion de l’énergie solaire,
- Recours à la géothermie.
ENVIRONNEMENT
- Réduction des matières résiduelles,
- Promotion du compostage,
- Sensibilisation des citoyens au recyclage et à la consommation responsable,
- Plantation d’arbres.
ÉDUCATION
Financements de projets pédagogiques d'éducation à l'environnement sur le thème du changement climatique dans la sphère scolaire.
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16h00 - Rencontre avec Yann-Hervé de Roeck, un ingénieur engagé
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16h00 - Rencontre avec Yann-Hervé de Roeck, un ingénieur engagé
16h00 - Rencontre avec Yann-Hervé
de Roeck, un ingénieur engagé
YANN-HERVÉ DE ROECK, DIRECTEUR DE FRANCE ÉNERGIES MARINES
Yann-Hervé De Roeck, ingénieur diplômé des Ponts et Chaussées a intégré l'Ifremer en 1991 et pilote le service « Dynamiques de l'environnement côtier » depuis 2005. Il est directeur général de l’institut France Énergies Marines (FEM) qui voit le jour en 2012 pour accompagner la France dans sa transition énergétique et vers l’optimisation des EMR. Il est également membre du jury du Mastère Spécialisé Expert en Énergies Marines Renouvelables.
16h00 - Rencontre avec Yann-Hervé
de Roeck, un ingénieur engagé
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YANN-HERVÉ DE ROECK, DIRECTEUR DE FRANCE ÉNERGIES MARINES
Yann-Hervé De Roeck, ingénieur diplômé des Ponts et Chaussées a intégré l'Ifremer en 1991 et pilote le service « Dynamiques de l'environnement côtier » depuis 2005. Il est directeur général de l’institut France Énergies Marines (FEM) qui voit le jour en 2012 pour accompagner la France dans sa transition énergétique et vers l’optimisation des EMR. Il est également membre du jury du Mastère Spécialisé Expert en Énergies Marines Renouvelables.
YANN-HERVÉ DE ROECK, DIRECTEUR DE FRANCE ÉNERGIES MARINES
Yann-Hervé De Roeck, ingénieur diplômé des Ponts et Chaussées a intégré l'Ifremer en 1991 et pilote le service « Dynamiques de l'environnement côtier » depuis 2005. Il est directeur général de l’institut France Énergies Marines (FEM) qui voit le jour en 2012 pour accompagner la France dans sa transition énergétique et vers l’optimisation des EMR. Il est également membre du jury du Mastère Spécialisé Expert en Énergies Marines Renouvelables.
ÉVOLUTION DES ÉMISSIONS DE CO2 DANS LE MONDE ENTRE 1990 ET 2010
Source : Commission Européene
L'énergie solaire, l'énergie éolienne, l'énergie hydraulique (de l’eau), la biomasse (issue des matières organiques) et la géothermie (énergie du sol), constituent les cinq grands types d'énergies renouvelables.
Pour atteindre l’objectif de réduction, il faudra baisser les émissions mondiales de gaz à effet de serre de 40% à 70% en 2050 (en comparaison à 2010), et atteindre des niveaux d’émission proches de zéro en 2100. Dans le cas échéant, les prévisions visent une hausse d’environ 3,7 à 4,8°C d’ici 2100.
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LES PROFESSIONNELS
DE LA PÊCHE
Respecter la saison pendant laquelle on peut pêcher le poisson, c'est respecter les périodes de reproduction. "Durant la saison de reproduction les poissons se regroupent et forment des concentrations qui facilitent leur capture. D’une manière générale, la pêche au moment du frai doit être envisagée avec prudence. Elle est à bannir dans le cas de stocks fragilisés." « Guide des espèces - Sea Web Europe».
LES PROFESSIONNELS
DE L'AQUACULTURE
L’aquaculture désigne toutes les activités de production animale ou végétale en milieu aquatique. Elle pourrait constituer une alternative à la surpêche mais ne sera pas moins épargnée que la pêche par les effets du changement climatique. Pour se développer, elle devra s’engager vers une démarche plus respectueuse de l’environnement.
CHANGER NOS
MODES DE CONSOMMATION
La réduction des émissions de gaz à effet de serre, passera avant tout par une réduction de notre consommation au quotidien. Nous pouvons tous participer à réduire ces émissions :
- Faire des économies d’énergie
- Acheter des produits durables, issus des circuits courts
- Réduire les transports de marchandises et personnes
- Réduire nos déchets et recycler
- Manger moins de viande bovine
LES PROFESSIONNELS
DE LA RESTAURATION
Le monde de la restauration a un rôle de sensibilisation face au grand public. Il pourra avoir une démarche innovante en faisant découvrir des poissons peu connus et dont les stocks sont abondants. Il peut également limiter les émissions des gaz à effet de serre en favorisant les circuits courts.
ÉNERGIE HYDROLIENNE
Elle nécessite un espace d’installation réduit. Par ailleurs, s’agissant d’une infrastructure installée sous l’eau, elle n’est que peu ou pas apparente. L’avantage de cette ressource est sa prédictibilité, indépendante de la météo. Les technologies d’hydroliennes sont développées spécialement pour les domaines naturels marins, estuariens et fluviaux. Son stade de développement est actuellement avancé.
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----> POUR ALLER PLUS LOIN
IMPACT ENVIRONNEMENTAL
Les projets en énergies marines renouvelables sont susceptibles de perturber le bon déroulement de la vie biologique. On peut observer des désordres physiques, comme la modification de la morphologie des fonds marins, les mouvements des masses d’eau (hydrodynamique) et par conséquent le transport des sédiments. Des désordres biologiques sur la faune et la flore existent également. Les désordres physiques peuvent notamment priver les espèces marines de leur habitat naturel. De plus, certaines installations peuvent générer un bruit sous-marin non naturel pouvant ainsi perturber le comportement des espèces animales. Se pose également la question de l'impact visuel.
CONSOMMATION
AGRICULTURE
TRANSPORT
MARITIME
AGRICULTURE : RÉDUIRE LES EMISSIONS
DE MÉTHANE ET D'AZOTE
Selon l’Union européenne « les émissions issues du secteur de l’agriculture représentent environ 9% des émissions totales de GES de l’UE. Cependant, l’impact de l’agriculture sur les émissions est en diminution. A ce titre les émissions issues de l’agriculture ont baissé de 20 % au sein de l’UE entre 1990 et 2005. Ceci est principalement dû aux changements de méthodes d’exploitation, telles que la réduction des fertilisants azotés et une baisse du cheptel (ensemble du bétail) ».
RÉDUIRE LES EMISSIONS DE
CO2 DU TRANSPORT MARITIME
Le transport maritime déplace 90% des marchandises mondiales. Il est responsable de 4,5% des émissions de CO2 dans le monde et est en constante augmentation. Pour diminuer ces émissions, de nombreux projets sont à l’étude. La mise en place d’une voile sur les cargos par exemple permettrait d’utiliser la force du vent et de consommer moins de carburant.
Pour la mise en place d’un projet en énergies marines, il est nécessaire de connaitre les spécificités d’un territoire, ses acteurs et sa culture. La prise en compte des enjeux territoriaux et sociopolitiques guidera la stratégie de concertation afin d’identifier les points sensibles et ainsi d’évaluer les soutiens et les opposants au projet.
Pour une concertation efficace, il est important d’identifier l’ensemble des acteurs potentiellement impactés par le projet. D’une manière générale, ces usages peuvent être classifiés selon des enjeux économiques ou des enjeux liés à l’activité récréative.
NAVAL ET NAUTISME
La filière navale investit dans la recherche de technologies propres pour poursuivre son développement économique, dans l’amélioration de la sécurité et le respect de l’environnement.
Parmi les projets on peut citer, Optnav qui vise à réduire la consommation énergétique des navires, ou Beyond the sea qui envisage la traction des navires par cerf-volant.
(Sources : Pôle Mer Bretagne Atlantique).
RESSOURCES ÉNERGÉTIQUES MARINES
Cet axe développe sa recherche pour optimiser le potentiel naturel des ressources énergétiques marines comme le vent, les courants, les vagues, l’énergie thermique.
Parmi les projets on peut citer, Bilboquet pour produire de l'électricité par récupération de l'énergie de la houle ou bien l'hydrolienne Sabella , qui tente de domestiquer la puissance des marées.
(Sources : Pôle Mer Bretagne Atlantique).
RESSOURCES BIOLOGIQUES MARINES
Dans ce domaine, l'enjeu est d'enrichir les connaissances sur la biodiversité marine et de faire évoluer la pêche et l’aquaculture vers une activité raisonnée. Par ailleurs, c’est un axe très porteur dans le domaine de la santé.
Parmi les projets on peut citer, Diesalg , visant à produire du diesel à partir de micro-algues. ou Pharmasea qui analyse des molécules d'origine marine pour lutter contre la maladie d'Alzheimer.
(Sources : Pôle Mer Bretagne Atlantique).
AMÉNAGEMENT DU LITTORAL
Cet axe travaille sur un mode de développement équilibré et intégré du littoral qui est un espace écologiquement riche et fragile, mais fortement convoité.
Parmi les projets on peut citer, Biomango qui tente de comprendre le fonctionnement des écosystèmes des mangroves en Guyane française, ou Rhomeo qui analyse comment des bactéries marines utilisent la lumière pour produire du carbone.
(Sources : Pôle Mer Bretagne Atlantique).
ÉNERGIE HYDROLIENNE
=
COURANTS MARINS
ÉNERGIE HOULOMOTRICE
=
VAGUES ET HOULE
ÉNERGIE MARÉMOTRICE
=
MARÉE
ÉNERGIE THERMIQUE
=
DIFFÉRENCE DE TEMPÉRATURE
ÉNERGIE OSMOTIQUE
=
DIFFÉRENCE DE SALINITÉ
ÉOLIEN OFFSHORE
=
VENT
ÉNERGIE HOULOMOTRICE
Elle ne nécessite pas de fondation et son entretien est aisé. L’exploitation de l’énergie des vagues se fait soit par
des installations fixes, sur la côte, soit par des installations mobiles, au large, qui ondulent avec le mouvement des vagues.
La faisabilité de son exploitation a été étudiée, en particulier au Portugal, au Royaume-Uni et en Australie.
ÉNERGIE MARÉMOTRICE
Il s’agit d’une technologie qui a fait ses preuves et dont l’encadrement est maîtrisé. Elle a un grand intérêt technique et son caractère est parfaitement prévisible pour alimenter le réseau électrique. Elle reste néanmoins relativement peu développée en raison des problèmes d’acceptation environnementale et de coût.
ÉNERGIE THERMIQUE DES MERS
C’est une énergie qui produit de manière continue et dont la prédictibilité est parfaite. Par ailleurs,
elle permet de produire de l’eau douce et de l’air conditionné. Son stade de développement est
en revanche très précoce.
ÉNERGIE OSMOTIQUE
C’est une énergie qui produit de manière continue, dont la prédictibilité est parfaite et qui
permet un entretien facile. Son stade de développement est en revanche très précoce.
ÉOLIEN OFFSHORE
On distingue deux catégories d’éoliennes : les éoliennes offshores flottantes et les éoliennes offshores posées. La différence entre ces deux catégories se situe au niveau de la base sur laquelle repose l’éolienne. Les éoliennes en mer bénéficient de nombreux avantages en comparaison des éoliennes situées sur terre : le vent est plus régulier en mer et plus fort, ce qui permet une puissance plus élevée ainsi qu’une continuité plus fiable. Cette technologie est l'une des plus avancées des énergies marines.
LIMITES TECHNOLOGIQUES
« Certains des défis auxquels le secteur de l’énergie océanique doit faire face sont semblables à ceux de l’éolien en mer. Ces défis concernent notamment les problèmes de raccordement au réseau, l’amélioration de la chaîne d’approvisionnement et l’exploitation et la maintenance des installations dans des conditions climatiques très dures. » (source Commission Européenne.) ».
Certaines filières comme l’énergie houlomotrice (énergie des vagues) sont peu prédictibles et dépendantes des conditions météorologiques. Toutes filières confondues, on soulève d’autres limites telles que le fonctionnement intermittent et non continu, un entretien compliqué ou un faible rendement.
COÛT
L’énergie thermique et osmotique par exemple, requièrent un investissement initial conséquent. Quant aux usines marémotrices, elles restent relativement peu développées en raison des problèmes d’acceptation environnementale et de coût. Ces frais d’exploitation sont assez peu communiqués par les gestionnaires du fait de la difficile acceptabilité environnementale.
IMPACT SOCIAL
L’espace marin et côtier rassemble de nombreux usages. Les activités traditionnelles telles que la pêche, la navigation, le dragage et l’exploitation pétrolière continuent de se développer alors que de nouveaux usages incluant le tourisme, les loisirs récréatifs, l’extraction des minéraux, et plus récemment l’énergie éolienne et l’aquaculture marine offshore requièrent leurs propres espaces. C’est pourquoi il est essentiel de caractériser correctement les différents usages maritimes ainsi que les spécificités territoriales afin de réduire les conflits d’usages.
TECHNOLOGIE
COÛT
ENVIRONNEMENT
SOCIAL
ACTIVITÉS ET ESPACE MARITIME
Source : énergie de la Lune
