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9h30 - RDV Experts Agronomes  :

« Causes du dérèglement climatique »  

11h00 - Cahiers météo
« Précipitations et sécheresses »

14h30 - Formation
« Accompagner au changement »

16h00 - Rencontre avec 

deux chercheurs engagés

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9h30 - RDV Experts Agronomes :

« Causes du déréglement climatique »

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L’effet de serre est un phénomène naturel permettant à la Terre de retenir la chaleur du Soleil à l’intérieur de l’atmosphère. Lorsque le rayonnement solaire touche la surface de la Terre, la chaleur qui s’en dégage est piégée sous l’atmosphère. C’est grâce à l’effet de serre que notre planète bénéficie d’une température moyenne «confortable» de 15°C. Sans lui, la température serait de -18°C, et la vie n’existerait peut-être pas. 

Les activités humaines génèrent directement et indirectement un surplus de chaleur. Elles émettent des gaz qui altèrent l'effet de serre naturel jusqu'à entraîner une augmentation de la température à l'échelle planétaire. Ce réchauffement atmosphérique engendre une augmentation de la température de l'eau. La hausse de la température des eaux, augmente la quantité d’eau s’évaporant dans l’air. Transportée par les vents et suivant le cycle naturel de l’eau, la vapeur finit son périple au dessus des océans et des terres. 

AMPLIFICATION DE L'EFFET DE SERRE

RÉCHAUFFEMENT DE L'OCÉAN

9h30 - Lecture du dossier
« Causes de la montée des eaux »

AMPLIFICATION DE L'EFFET DE SERRE

Les gaz à effet de serre sont souvent décrits comme des perturbateurs climatiques et viennent intensifier certains événements comme la pluie ou encore la sécheresse. Le premier facteur d’amplification de l’effet de serre provient de la combustion des énergies fossiles comme  le pétrole, le charbon ou encore le gaz naturel. Le pétrole reste aujourd’hui la première source d’énergie pour l’Homme, émettant ainsi d’énorme quantité de CO2 dans l’atmosphère. 

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9h30 - RDV Experts Agronomes :

« Causes du déréglement climatique »

L’amplification des gaz à effet de serre générée par l’activité humaine, réduit la capacité de la Terre à retenir la chaleur du Soleil. Les prévisions annoncent à minima une augmentation de 1,5°C de la température de l’air d’ici 2100. Même si la capacité de l’Océan à absorber la chaleur est mille fois supérieure à celui de l’atmosphère, la hausse de la température se manifeste clairement sur les eaux de surface. En effet, selon le GIEC, on observe une augmentation de +0,44°C ces 40 dernières années. 


Le réchauffement de l’air et des Océans, augmente la quantité d’eau évaporée. Cette perturbation du cycle naturel de l’eau se traduit par une hausse des précipitations intenses et des épisodes de sécheresses accrues dans certaines régions du monde, essentiellement dans les régions tropicales. Le réchauffement global, aurait également un impact sur la circulation de l’air. On observe une tendance à l’augmentation de l’intensité des cyclones en Atlantique Nord, couplée à un niveau plus élevé d’inondations.

RÉCHAUFFEMENT DE L'OCÉAN

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11h00 - Cahiers météo
« Précipitations et sécheresses »

PRÉCIPITATIONS DE FORTE INTENSITÉ

ÉPISODES DE SÉCHERESSE

11h00 - Cahiers météo
« Précipitations et sécheresses »

PRÉCIPITATIONS DE FORTE INTENSITÉ

Les épisodes de pluies intenses provoquant nombre de catastrophes sont très difficiles à imputer aux changements climatiques actuels selon la communauté scientifique. Cependant, une équipe de chercheurs de Postdam utilise des statistiques de longue durée afin de modéliser avec le plus de précision possible les interactions et la causalité entre événements extrêmes et l'évolution climatique. D'après leurs observations, la quantité de vapeur d'eau dans l'atmosphère a augmenté de 4% depuis 1970 en moyenne, ce qui est en accord avec la physique du climat.


D'autre part, selon une étude Suisse de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (ETHZ), « 18% des événements de précipitations extrêmes modérément rares constatés aujourd’hui sont attribuables aux activités humaines. Même si la température se limite à une hausse de 2°C, la fréquence d’apparition des précipitations les plus extrêmes serait multipliée par 1,5 à 3 suivant les régions du globe. Autrement dit, une pluie diluvienne si forte qu’elle ne s’observe que tous les trente ans, surviendrait alors tous les dix à vingt ans! 

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11h00 - Cahiers météo
« Précipitations et sécheresses »

L’absence de précipitation caractérise une sécheresse météorologique. Tout comme les précipitations, les sécheresses devraient évoluer, autant en fréquence qu’en durée. L’étude des sécheresses est cependant très délicate du fait du manque de données sur une longue échelle de temps. . On estime avec un degré de confiance moyen que la sécheresse va s’intensifier au XXIème siècle en Europe centrale et méridionale et sur le pourtour méditerranéen, en raison de la baisse de la pluviosité.   


Les épisodes caniculaires, déjà présents par le passé devraient s’amplifier en intensité et en fréquence. En ce qui concerne l’Europe de l’ouest, un anticyclone sur le nord et l’est de l’Europe, associé à des sols secs (un printemps peu humide) constitue un terrain favorable à l’apparition  d’un épisode caniculaire. Selon une étude Suisse de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (ETHZ), « la part des événements de températures extrêmes imputables à l’homme passerait de 75% aujourd’hui à 96% dans un monde à si la température augmentait de 2°C.

ÉPISODES DE SÉCHERESSE

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14h30 - Formation
« Accompagner au changement »

Comment atténuer les effets dans l’agriculture ? 

Comment l'agriculture peut-elle s’adapter ?

---->    SUJETS ABORDÉS

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14h30 - Formation
« Accompagner au changement »

Selon le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, un réchauffement du climat supérieur à 1,5-2,5°C d’ici 2100 pourrait s’avérer irréversible. C’est pourquoi l’Union européenne s’est engagée à réduire de 20% d’ici 2020 les émissions de gaz à effet de serre et à satisfaire 20% de sa consommation finale par les énergies renouvelables. 


L’agriculture, peut contribuer à l’atténuation du changement climatique en réduisant deux puissants gaz à effet de serre dont elle est émettrice: le protoxyde d’azote et le méthane. Les émissions de ces deux gaz sont générées par le stockage et la propagation de fumier animal. Les émissions de protoxyde d’azote représentent plus de la moitié des émissions totales issues du secteur de l’agriculture. 

Les émissions de méthane proviennent en grande partie du processus de digestion des bovins (veau, vache, génisse, bœuf) et des moutons. 

Selon l’Union Européenne « les émissions issues du secteur de l’agriculture représentent environ 9% des émissions totales de GES de l’UE. Cependant, l’impact de l’agriculture sur les émissions est en diminution. A ce titre les émissions issues de l’agriculture ont baissé de 20 % au sein de l’UE entre 1990 et 2005. Ceci est principalement dû aux changements de méthodes d’exploitation, telles que la réduction des fertilisants azotés et une baisse du cheptel (ensemble du bétail) ».


Les agriculteurs peuvent réduire les GES sur trois axes : 

COMMENT ATTÉNUER LES EFFETS

DU CHANGEMENT CLIMATIQUE

DANS L'AGRICULTURE ?

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Les deux grands enjeux de l’adaptation de l’agriculture aux événements climatiques extrêmes concernent la gestion de la ressource en eau ainsi que la variation des conditions climatiques. Le secteur de l’agriculture peut avoir recours à plusieurs techniques afin de s'adapter à ces enjeux. Selon l'Union Européenne « la rotation de leurs cultures permet d’améliorer la gestion de l’eau, et d'adapter la période des semailles aux modèles des températures et de la pluviométrie. On peut également utiliser des variétés agricoles adaptées aux nouvelles conditions climatiques ou planter des haies et  créer de petites zones boisées sur les terres qui peuvent être cultivées, afin de réduire le ruissellement de l’eau et obtenir un effet de protection contre les courants. »  


L’agriculteur n’est pas le seul à pouvoir agir. Trois acteurs clés peuvent contribuer à la progression de ce secteur vers des stratégies d'adaptation :  

COMMENT L'AGRICULTURE

PEUT-ELLE S'ADAPTER

AU CHANGEMENT CLIMATIQUE ?

LÉGISLATEUR


CONSOMMATEUR


CHERCHEUR

14h30 - Formation
« Accompagner au changement »


TRANSPORT


- Promotion du biodiesel,

- Utilisation de véhicules électriques,

- Promotion du transport collectif,

- Mise à disposition de vélos,

- Formation en écoconduite,

- Aide à l’efficacité énergétique.


INFRASTRUCTURE


- Promotion des programmes en efficacité énergétique,

- Promotion de l’énergie solaire,

- Recours à la géothermie.


ENVIRONNEMENT


- Réduction des matières résiduelles,

- Promotion du compostage,

- Sensibilisation des citoyens au recyclage et à la consommation responsable,

- Plantation d’arbres.

 

ÉDUCATION

 

Financements de projets pédagogiques d'éducation à l'environnement sur le thème du changement climatique dans la sphère scolaire.


9h30 - RDV Experts Agronomes  :

« Causes du dérèglement climatique »  

11h00 - Cahiers météo
« Précipitations et sécheresses »

14h30 - Formation
« Accompagner au changement »

16h00 - Rencontre avec 

deux chercheurs engagés


9h30 - RDV Experts Agronomes  :

« Causes du dérèglement climatique »  

11h00 - Cahiers météo
« Précipitations et sécheresses »

14h30 - Formation
« Accompagner au changement »

16h00 - Rencontre avec 

deux chercheurs engagés

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16h00 - Rencontre avec

un chercheur engagé

MICHEL DÉQUÉ, CLIMATOLOGUE ET JEAN LOUIS DURAND, AGRONOME 

 

Michel Déqué, climatologue à Météo-France, travaille sur la prévision des phénomènes météorologiques, réalise des recherches sur le développement des phénomènes climatiques extrêmes et ses effets. Jean Louis Durand, chercheur agronome à l'INRA, coordonne le projet "Climagie", sur l'Adaptation des prairies semées au changement climatique.  Peio Bacho, agriculteur, oriente son métier vers une agriculture paysanne et respectueuse de l'environnement.

16h00 - Rencontre avec

deux chercheurs engagés

16h00 - Rencontre avec

deux chercheurs engagés



<< AGENDA

9h30 - RDV Experts Agronomes :

« Causes du déréglement climatique »



<< AGENDA



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<< AGENDA



<< AGENDA



<< CHAPITRES

MICHEL DÉQUÉ, CLIMATOLOGUE ET JEAN LOUIS DURAND, AGRONOME 


Michel Déqué, climatologue à Météo-France, travaille sur la prévision des phénomènes météorologiques, réalise des recherches sur le développement des phénomènes climatiques extrêmes et ses effets. Jean Louis Durand, chercheur agronome à l'INRA, coordonne le projet "Climagie", sur l'Adaptation des prairies semées au changement climatique.  

Peio Bacho, agriculteur, oriente son métier vers une agriculture paysanne et respectueuse de l'environnement.

MICHEL DÉQUÉ, CLIMATOLOGUE ET JEAN LOUIS DURAND, AGRONOME 


Michel Déqué, climatologue à Météo-France, travaille sur la prévision des phénomènes météorologiques, réalise des recherches sur le développement des phénomènes climatiques extrêmes et ses effets. Jean Louis Durand, chercheur agronome à l'INRA, coordonne le projet "Climagie", sur l'Adaptation des prairies semées au changement climatique.  

Peio Bacho, agriculteur, oriente son métier vers une agriculture paysanne et respectueuse de l'environnement.

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PERTURBATION DES CULTURES AGRICOLES

SALINISATION DES NAPPES PHRÉATIQUES

DIMINUTION DE

LA RESSOURCE EN EAU

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<< CHAPITRES



<< CHAPITRES



<< CHAPITRES

SALINISATION

DES NAPPES PHRÉATIQUES


L'augmentation de la température augmenterait l'évaporation et concentrerait davantage les sels dans les sols. D’autre part, l'élévation du niveau des océans due à la dilatation thermique, peut également être à l’origine de la hausse de la salinité des sols des zones côtières. En effet l’eau de mer s’infiltre dans les nappes phréatiques en rendant les eaux impropres à la consommation ou à l'irrigation. 

DIMINUTION DE LA

RESSOURCE EN EAU


La répétition d’hivers secs, conjuguée à une sécheresse estivale sont des paramètres favorables à une diminution de la ressource en eau. En effet, cela  traduit par un abaissement des nappes phréatiques et un faible débit des rivières, avec à terme, une dégradation de la qualité de l’eau. La gestion de la ressource en eau est un des défis majeurs du changement climatique.  

CHERCHEUR 


Le chercheur spécialisé dans le domaine de l’agriculture permet de faire évoluer le secteur face aux variations climatiques. Une meilleure connaissance des phénomènes permettra au chercheur de spécifier et de mettre en œuvre des solutions innovantes. L’institut national de recherche agronomique (INRA) développe notamment le méta-programme ACCAF, sur l’Adaptation de l’Agriculture et des forêts au changement climatique.  

LÉGISLATEUR 


La politique agricole commune (PAC) à l’échelle de l’Union Européenne dispose d’un certain nombre de mesures qui devraient faciliter l’adaptation au changement climatique. Par exemple elle soutient les agriculteurs dans la souscription d'assurances spécifiques pour leur permettre de faire face aux pertes provoquées par des catastrophes météorologiques liées au changement climatique. .

CONSOMMATEUR


Le consommateur a un rôle central dans le maintien d’une agriculture durable. En optant pour des produits locaux, bio et de saison, il favorise le croissance d’une agriculture moins polluante et plus respectueuse de l’environnement. La réduction de notre consommation de viande, diminue la quantité des produits issus de l’élevage industriel sur le marché.

LES PROFESSIONNELS

DE LA RESTAURATION


Le monde de la restauration a un rôle de sensibilisation face au grand public. Il pourra avoir une démarche innovante en faisant découvrir des poissons peu connus et dont les stocks sont abondants. Il peut également limiter les émissions des gaz à effet de serre en favorisant les circuits courts.   

CONSÉQUENCES DE L'AUGMENTATION

DU CO2 DANS L'ATMOSPHÈRE

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MESSAGE DE LA MARAÎCHÈRE

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D’autres activités humaines aggravent ce phénomène. La déforestation et plus précisément le déboisement intensif, augmente la quantité de CO2 dans l’atmosphère. Les arbres ont la capacité de stocker le carbone. Or, à cause de la déforestation, ce carbone est relâché par la combustion ou la décomposition des arbres morts.  


L’agriculture intensive est également une activité qui rejette deux puissants gaz à effet de serre (bien plus que le CO2) : le méthane et le protoxyde d’azote. Il sont générés en majorité par l’utilisation d’engrais, les cultures de riz, et les élevages de bovins ruminants. L’homme a aussi créé ses propres gaz à effet de serre : les gaz fluorés (CFC ou HCFC), utilisés dans la climatisation.  


Les émissions humaines de CO2 suffisent aujourd’hui à amplifier l’effet de serre et perturber l’équilibre naturel. La combustion des énergies fossiles n’explique pas à elle seule l’amplification de l’effet de serre. 

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IMPACTS DU CHANGEMENTS CLIMATIQUE

DANS LES RÉGIONS DE L’UE

EUROPE CENTRALE


++ pluviometrie hivernale (inondations)

-- pluviométrie estivale

++ risque de sécheresse

++ risque d’érosion des sols

++ durée de la période de végétation

RÉGIONS NORDIQUES


++ niveau des lacs et océans

++ tempêtes, inondations

++ étés plus chaud et plus secs

++ périodes de végétation

++ potentiel des cultures

++ parasites

RÉGIONS DU SUD ET DU SUD-EST


++ température

-- pluviométrie annuelle, disposibilité de l’eau

++ risques de sécheresse

-- rendements des cultures

-- zones de récoltes adaptées

RÉGIONS OCCIDENTALES ET ATLANTIQUES


++ précipitations hivernales (inondations)

++ niveau des océans

++ étés plus chauds et plus secs

++ rendement agricoles et choix des cultures

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BIOGAZ

STOCKAGE

ENGRAIS

PERTURBATION DES 

CULTURES AGRICOLES


L’augmentation des températures ainsi que les longs épisodes de chaleurs peuvent engendrer des désordres physiologiques. Elles se manifestent par exemple par des durées excessives de floraison ou des irrégularités de végétation. Elle peuvent avoir des conséquences néfastes sur la régularité et  sur la qualité de la production. 

Sources: extrait des fiches pédagogiques de la plateforme Ocean & Climat. 

S'il est difficile d'établir une corrélation systématique entre les changements climatiques et un événement météorologique particulier, il est en revanche plus aisé de prévoir une augmentation de l'intensité, de la fréquence et de la durée de ce type d'événements au fur et à mesure d'une plus grande concentration de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.

« De manière générale, on s'attend à ce que, avec le changement climatique, il pleuve de moins en moins dans les zones arides, et qu'il pleuve de plus en plus dans les zones où il pleut déjà beaucoup, explique Robert Vautard, chercheur (CNRS) au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement. Nous avons, par exemple, la quasi-certitude que les précipitations augmenteront en Europe du Nord. »

INTRODUCTION

CONVERTIR LES MATIÈRES ORGANIQUES ANIMALES EN BIOGAZ  


Les déchets organiques (déjections animales, résidus de cultures, d’ensilages, gazons…) peuvent être transformés en biogaz dont l’utilisation peut permettre des économies en énergies fossiles (notamment le gaz naturel). L’utilisation de biogaz s’inscrit dans le cycle court du carbone et n’accroit pas l’effet de serre.

Source :  Commission européenne Direction générale de l’Agriculture et du Développement Rural

---->    POUR ALLER PLUS LOIN

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FAVORISER LA FONCTION DE STOCKAGE DE CARBONE DES TERRES AGRICOLES    


Une grosse quantité de CO2 peut être retirée de l’atmosphère et stockée dans les sols par diverses techniques agricoles comme l’agriculture biologique, la plantation de haies, le maintien de pâturages permanents. 

Source :  Commission européenne Direction générale de l’Agriculture et du Développement Rural

UTILISER DES

ENGRAIS NATURELS 


En réduisant ou excluant les engrais chimiques, l’émission du dioxyde de carbone (CO2) et du protoxyde d’azote (N2O) lors de la production est évitée. L’agriculture est de loin la principale source d’émissions anthropiques de N2O. La production d'engrais azotés est à l'origine de plus de 80% des émissions de gaz à effet de serre des industries de la fertilisation.

Source :  Unifa.